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DBS

De Bonnes Sources

• Révision constitutionnelle : l’opposition compte sur la défection des députés
Les groupes parlementaires Alternance démocratie et justice (Adj) et Union pour le progrès et le changement (Upc) intensifient la sensibilisation de leurs pairs de l’Assemblée nationale en vue d’un vote contre la révision de l’article 37 de la loi fondamentale. Leurs appels vont à l’endroit des groupes parlementaires Adf-Rda, Cdp et Cfr, qui ont déjà donné leur accord pour l’introduction du projet de loi voulu par le Gouvernement à la deuxième session ordinaire de l’année 2014. Face à la presse le 24 octobre, les responsables des groupes Adj et Upc ont indiqué que si la loi soumise le 30 octobre au vote des députés en plénière accueillait la majorité des voix, ce serait un attentat à la démocratie qu’il leur faut dénoncer avec véhémence.

• Parlement Uemoa : installation officielle pour bientôt
Tout est presque fin prêt pour que le parlement de l’Uemoa entre en plein exercice. C’est ce qu’a assuré le président du Comité interparlementaire de l’Union, le Béninois Victor Dangnon. La 18e session extraordinaire qu’il a dirigée du 21 au 24 octobre à Ouagadougou a passé en revue les textes devant régir l’organisation et le fonctionnement du parlement plénier. Ces documents seront transmis en Conseil des ministres statutaire avant leur adoption. Instance de contrôle démocratique et de gestion des organes de l’Uemoa, le Comité interparlementaire est donc appelé à devenir le Parlement de l’Uemoa. Le siège devrait accueillir 40 députés en raison de 5 par État membre.

• Lancement de la construction du corridor Lomé-Cinkansé-Ouagadougou
Le 23 octobre dernier a eu lieu à Cinkansé, à la frontière du Burkina et du Togo, le lancement des travaux de construction du corridor allant de Lomé à Ouagadougou via Cinkansé. Le projet de corridor, long de 950 km, demande un investissement de 102 milliards de FCFA et bénéficie de l’appui financier des partenaires multilatéraux, notamment de la Banque africaine de développement (Bad), de la Banque ouest-africaine de développement (Boad), de la Banque d’investissement et de développement de la Cedeao (Bidc).
• Centrale solaire de 20 MW: Windiga Énergie reçoit le feu vert
Le 22 octobre dernier, Windiga Énergie et la Sonabel ont signé une entente d’achat d’électricité de 20 mégawatts pour la construction et l’opérationnalisation d’une centrale photovoltaïque située à Zina dans la province du Mouhoun. Cette dernière étape contractuelle avec la nationale d’électricité a permis au président du conseil d’administration de Windiga Énergie Burkina Faso, Élie Ouédraogo, de souligner que sa structure devient ainsi le premier producteur d’énergie indépendant au Burkina Faso. Les prochaines étapes viseront à finaliser les ententes de financement avec les guichets privés des banques de développement impliquées dans le projet, ainsi que de démarrer la construction de la centrale.

• Jérémie Ouédraogo au 23e Sommet de l’élevage de Clermont-Ferrand
Le ministre burkinabè en charge de l’élevage s’est rendu au sommet de l’élevage en France. Cette manifestation a réuni plus de 1.300 exposants, 84.000 visiteurs professionnels, dont 4.000 visiteurs internationaux de près de 80 pays. Ce qui en fait un carrefour d’affaires international. L’objectif était de chercher ce qui se fait de mieux dans l’élevage, que ce soit dans le domaine de la production laitière, de la viande, et des équipements modernes. Au Burkina, 86,5% des bovins, 86,2% des ovins et 89,7% des caprins sont élevés dans le système traditionnel extensif. Il se trouve que dans ce système traditionnel, la production laitière est atomisée et saisonnière. 80 % de cette faible production sont destinés à l’autoconsommation dans les familles d’éleveurs. Et une toute petite part pour la commercialisation locale. De plus en plus, émerge un système d’élevage semi-intensif qui concerne 12,1% des bovins, 11,7% des ovins et 8,2% des caprins. Il y a également le système d’élevage intensif qui concerne essentiellement la production laitière dans les zones périurbaines de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso. Ce système intensif concernerait moins de 200 producteurs en 2012, soit une fraction très faible des éleveurs et des effectifs. Au final, une consommation urbaine de 40 millions de litres importés et de 3 millions de litres collectés auprès des éleveurs. C’est la situation que les autorités tentent de renverser. o

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RAF

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